Photographies VOSGES en PLAINE

(diaporama)

Elouan Poull, Président de la Musique Municipale Dompaire Madonne-et-Lamerey remercie le public venu en nombre assister à cette fête de la musique le 11 juin 2023 à la salle polyvalente de Dompaire. Puis il s'adresse et passe la parole à Sébastien Schléret, chef d'orchestre de l'Harmonie qui présente au public avec une touche d'humour qu'on lui connait bien, les œuvres jouées par la Musique Municipale.

Sébastien Schléret annonce que les  musiciens sont disposés dans une position inhabituelle.
Ils sont non pas sur 2 ou trois rangs comme à l'accoutumée mais sur une seul ligne en arc de cercle. Dans l'ensemble des cuivres, il y a également des musiciens de Mirecourt qui sont avec ceux de Dompaire - Lamerey. 

Je termine les prises de vue de cette disposition originale, en photographiant la scène avec musiciens de dos en premier plan, chef d'orchestre au centre et public en arrière-plan. L'ensemble a une forme elliptique. Il y a bien sûr comme d'habitude, les percussions sur l'estrade de la salle polyvalente.

(Cliquer sur les images pour les agrandir)

(Diaporama)

Trois jeunes enfants se joignent à la musique municipale pour taper en mesure, sur des casseroles. C'est la première fois qu'ils se retrouvent parmi les musiciens.
L'effet produit par ces percussionnistes en herbe, est saisissant. Ils reçoivent les applaudissements du public et des musiciens.

Pendant l'entracte, quatre élèves de l'école de la Musique Municipale se succèdent à la batterie. Puis viennent ensuite :

• Le duo chanteur - saxophoniste avec Adamosing, chanteur Dompairois,
• Le duo Clarinettiste - pianiste avec Christian et Éliane,
• Jean-Marc à la batterie

François Masson joue de l'euphonium en solo puis en étant accompagné par l'harmonie dirigée par Sébastien Schléret.

Un grand merci à la Musique Municipale de Dompaire / Madonne et Lamerey, aux chefs de la batterie -fanfare et de l'harmonie, aux musiciens et chanteur, qui par leur talent, nous ont offert cette après-midi passionnante de détente musicale.

Je vous invite à consulter l'article publié par Elouan POULL dans le Bulletin municipal Dompaire / Madonne et Lamerey de Juillet -Août 2023 en suivant le lien ci-dessous : 

Je rappelle que vous pouvez vous abonner au Blog. Il vous suffit de saisir votre adresse mail (laquelle n'est pas visible sur le blog) dans le module "Newsletter" puis de cliquer sur "S'abonner". Vous recevrez ensuite un mail d'Over-blog qui vous invitera à valider votre inscription. Vous serez dès lors avisé par mail à chaque nouvelle publication que je mettrai en ligne. (Si vous visualisez ce blog sur mobile, vous devrez temporairement passer à l'affichage classique pour accéder au module abonnement)

Pour éviter de recevoir des commentaires d'ordre publicitaire, j'ai activé la modération. Si vous écrivez un commentaire, j'en suis avisé par une notification qui me permet de le visualiser et de le rendre visible en ligne. Je m'efforcerai de valider les commentaires reçus, à J+1 au plus tard.

Voilà près d'un mois qu'il ne pleut pas dans la Plaine des Vosges. 
Les oiseaux souffrent aussi de la chaleur, c'est la raison pour laquelle il faut leur donner de l'eau.

Je leur mets un bac avec une pierre au milieu pour qu'ils ne se noient pas. À l'utilité pour eux, s'ajoute le plaisir pour moi de les observer venir boire et même se baigner pour s'ébrouer ensuite.

Une nécessité toutefois, il faut nettoyer le bac fréquemment (tous les jours) car la chaleur fait que de la mousse se forme sur les parois.

Voici quelques photos prises ce jour, il y a du monde à la plage !

(Cliquer sur les images pour les agrandir)

Préambule : mes visiteurs de Dompaire, Madonne-et-Lamerey ainsi que ceux qui consultent le site internet de Dompaire, ne seront pas surpris de trouver des similitudes (textes et photos) entre l'article que je publie ici et celui que j'ai rédigé, paru dans le bulletin communal Dompaire / Madonne-et-Lamerey de Mai-Juin 2023.

Le char CORSE du Monument Général Leclerc situé sur la commune de Madonne-et-Lamerey présentait des traces de corrosion dues à un problème de cloquage de peinture, conséquence d'une humidité excessive lors de la précédente restauration de 2018.

Je vous propose ces photos prises le 15 avril 2023 qui montrent l'état du char avant qu'il ne soit repeint. 
(Cliquer sur les images de cet article pour les agrandir)

C'est alors que le Groupement Tactique du Pinceau GTP intervient pour le repeindre.

Le GTP dont le siège est à Saint-Martin-de-Varreville dans la Manche est coordonné par Mme Ghyslène Lebarbenchon, Maire de la commune de Saint-Martin-de-Varreville.
Le GTP existe depuis dix ans et intervient en aide aux communes, dans la remise en état des sites mémoriels de la Voie de la 2e DB, d’Utah-Beach Saint-Martin-de-Varreville à Strasbourg et au-delà. 

C’est un groupe de cinq bénévoles (deux Normands et trois Sarthois),  qui possède les compétences de sableur, peintre, lettreur, spécialiste pochoir et peintre d’insignes régimentaires.
Le GTP est parrainé par la Fondation Maréchal Leclerc de Paris. Il est sponsorisé par la Fondation et par deux entreprises pour les peintures antirouille et marquages.

Le char CORSE est le treizième blindé sur lequel il intervient. Deux autres blindés sont prévus d’être repeints également en 2023. L'un à Meyenheim dans le Haut-Rhin, l'autre au Mont-Valérien dans les Hauts-de Seine.

Lorsque le GTP intervient, ses membres sont logés chez l’habitant.

Les communes prennent en charge la location de matériel (compresseur, sableuse), l'achat des pochoirs utilisés pour peindre les signes régimentaires  et l’intendance. Du personnel communal, des bénévoles des communes, viennent en aide au GTP.

Le temps annoncé pour les jours à venir est incertain, décision est prise de monter un échafaudage pour installer des bâches de protection du char.

L'échafaudage est prêté par une entreprise locale. Le montage est commencé le soir même de l'arrivée du GTP et sera finalisé le vendredi 21 avril au matin.

Lorsque j'arrive sur place le vendredi 21 avril matin, la pose de l'échafaudage et des bâches de protection est terminée.

Didier du GTP a déjà commencé le sablage qui élimine l'ancienne peinture et les traces de corrosion du métal.
Seule la partie supérieure du char CORSE est sablée car le GTP juge que la partie inférieure qui n'est pas corrodée pourra recevoir la peinture de finition directement.

Il faut régulièrement alimenter la sableuse.

Le sablage touche à sa fin.

Le sablage est terminé, Ghyslène, Jacques et Michel rangent la sableuse,  Didier regarde son travail de sablage.

Il faut déjà commencer par préparer la peinture. 

Un essai de peinture au pistolet conduit à remélanger la peinture pour avoir une viscosité homogène. Cela étant, le travail de peinture peut reprendre.

Du moins pour sa partie supérieure ...

Pendant que la peinture antirouille a commencé à sécher, Michel et Jacques ramassent au sol le sable de l'opération de sablage.

Samedi 22 matin, quand j'arrive sur le chantier, la peinture de finition est prête, Didier a déjà commencé à peindre la partie supérieure du char au pistolet.
Avant qu'il peigne la partie basse du char, Michel et Jacques donne quelques coups de meuleuse ou brosse métallique sur les quelques marques de corrosion. Je rappelle qu'il n'était pas jugé utile de sabler la partie inférieure du char.

Pendant ce temps, Rémi aidé d'autres bénévoles locaux, installe le drapeau Français qui flottera sur le chantier de peinture du char.

Un agriculteur de Damas-et-Bettegney qui aide le GTP, vient chercher le sac de sable avec un engin agricole.

Didier termine de peindre le char. Les bandages noirs des galets sont ensuite repeints en noir pour masquer le voile de peinture de finition qui a pu les atteindre.  C'est plus simple de procéder ainsi plutôt que de les protéger pendant la peinture de finition.

Après la peinture de finition du char, il reste à peindre les insignes régimentaires avec des pochoirs.

Lorsque j'arrive sur le chantier le dimanche 23 avril vers 09h30, le GTP n'a pas chômé, les pochoirs sont déjà posés, prêts à recevoir le premier coup de rouleau pour la couleur de fond des insignes.

Ghyslène Lebarbenchon explique la technique de la peinture au pochoir.

Un visiteur vient voir la préparation de la peinture ...

Le travail avance bien, c'est le moment pour le GTP, les bénévoles locaux et les Élus présents, de partager un moment de convivialité. 

C'est alors que le vent se met à souffler en rafales. Dans un premier temps il faut refixer la bâche arrière dont des attaches se sont rompues. Je laisserai l'appareil photo de côté pour aider d'autres personnes à tenir la bâche pendant que Rémi l'attache de nouveau. 

Nouveau coup de vent, les bâches menacent de s'envoler. Décision est prise de les retirer et de démonter l'échafaudage.

Dimanche 23 après-midi, le travail de peinture au pochoir peut reprendre.

C'est une opération très délicate car il y un risque d'enlever de la peinture qui reste accrochée au pochoir. C'est d'autant plus risqué que la météo changeant ne permet pas un séchage rapide de la peinture.

Le photomontage ci-dessous illustre les différentes étapes de cette opération délicate qui demande maîtrise de ses gestes, patience et précision.

Ghyslène Lebarbenchon est experte dans la pose et le retrait des pochoirs. Le retrait du pochoir CORSE a lieu le dimanche 23 avril après-midi. D'autres seront également retirés mais l'arrivée de la pluie contraint le GTP à interrompre le travail et à prendre des dispositions pour revenir terminer le lundi 24 avril en espérant que la météo le permettra.

Heureusement, le travail peut reprendre le lundi 24 avril matin.

Ghyslène Lebarbenchon retire délicatement le pochoir de la carte de France avec Croix de Lorraine. À la fin, il n'y a plus que la Corse à peindre au pochoir. 

À ce sujet, Leclerc avait dit aux membres de l'équipage du char CORSE à propos du dessin de la Corse qu'ils avaient ajouté : virez-moi ça . Il n'en a rien été, le dessin de la Corse est toujours resté sur le char.

Après le retrait de tous les pochoirs, les membres du GTP s'activent pour faire les retouches nécessaires au pinceau fin. Ces dernières retouches demandent une grande habileté pour corriger les petites imperfections sans en créer d'autre par débordement.

Avec de gauche à droite, Didier, Ghyslène, Michel et Jacques.

J'ai attendu le 27 avril jour de météo plus favorable, pour prendre ces photographies.

Voici en photomontage, les photos que j'ai prises le 09 septembre 2014 à Saint-Martin-de-Varreville, commune dont Madame Ghyslène Lebarbenchon du GTP est Maire.

Je rappelle que vous pouvez vous abonner au Blog. Il vous suffit de saisir votre adresse mail (laquelle n'est pas visible sur le blog) dans le module "Newsletter" puis de cliquer sur "S'abonner". Vous recevrez ensuite un mail d'Over-blog qui vous invitera à valider votre inscription. Vous serez dès lors avisé par mail à chaque nouvelle publication que je mettrai en ligne. (Si vous visualisez ce blog sur mobile, vous devrez temporairement passer à l'affichage classique pour accéder au module abonnement)

Pour éviter de recevoir des commentaires d'ordre publicitaire, j'ai activé la modération. Si vous écrivez un commentaire, j'en suis avisé par une notification qui me permet de le visualiser et de le rendre visible en ligne. Je m'efforcerai de valider les commentaires reçus, à J+1 au plus tard.

Le dimanche 30 avril 2023 avait lieu la cérémonie du Souvenir des Victimes et Héros de la Déportation.

Je vous propose un reportage photographique, de la cérémonie qui a eu lieu au Monument aux Morts de Dompaire, Madonne-et-Lamerey, situé près de l'ancienne gare de Dompaire.

Les sapeurs-pompiers arrivent au Monument aux Morts sous le commandement du Capitaine du SDIS de Dompaire.

Le dépôt de gerbe est effectué par le Maire de Dompaire avec le Maire de Madonne-et-Lamerey, le Président de la section de Dompaire des anciens d'AFN et le Président de l'Association pour le Souvenir de la bataille de Dompaire.

Le message national des associations est lu par le Maire de Dompaire.

À la fin de la cérémonie, les Sapeurs-pompiers retournent à la caserne alors que Porte-drapeaux, Élus, Présidents d'associations et public échangent quelques mots.

Je vous invite à voir ou revoir l'article que j'avais publié en 2022. Je parle de mon grand-père maternel Georges BIET, Déporté-Résistant et de mon oncle Roger BIET son fils, Déporté-Résistant mort en Allemagne. 

Je rappelle que vous pouvez vous abonner au Blog. Il vous suffit de saisir votre adresse mail (laquelle n'est pas visible sur le blog) dans le module "Newsletter" puis de cliquer sur "S'abonner". Vous recevrez ensuite un mail d'Over-blog qui vous invitera à valider votre inscription. Vous serez dès lors avisé par mail à chaque nouvelle publication que je mettrai en ligne. (Si vous visualisez ce blog sur mobile, vous devrez temporairement passer à l'affichage classique pour accéder au module abonnement)

Pour éviter de recevoir des commentaires d'ordre publicitaire, j'ai activé la modération. Si vous écrivez un commentaire, j'en suis avisé par une notification qui me permet de le visualiser et de le rendre visible en ligne. Je m'efforcerai de valider les commentaires reçus, à J+1 au plus tard.

Thiraucourt est un village de la Plaine des Vosges proche de Mirecourt. Il est desservi par la D17 et situé dans la vallée du ruisseau Le Val d'Arol. Le Val d'Arol est un affluent du Madon dans lequel il se jette à la limite administrative des communes de Mirecourt et Poussay.

Cliquer sur l'icône en bas à gauche pour afficher la vue aérienne.

Lundi 20 mars 2023, la randonnée de L'Astragale de Mirecourt a lieu au départ de Thiraucourt, nous sommes 22 randonneurs.

L'itinéraire est d'une longueur de 11,4 km pour un dénivelé de 195 m. Il se situe sur les deux versants du vallon du ruisseau le Val d'Arol de Thiraucourt à Offroicourt. 

Nous nous élevons du village situé à 290 m d'altitude, perpendiculairement aux courbes de niveau pour rejoindre à 700 m du départ, le GR 507 à 350 m d'altitude.

Au cours de cette montée, nous sommes observés par ces ovins à tête noire.

Nous suivons le GR 507 sur 3,1 km environ avant de bifurquer à droite pour descendre sur Offroicourt. Le chemin est boueux et saturé d'eau, voilà qui devrait faire du bien aux nappes phréatiques.

Nous avons vue sur le village de Rémicourt, avant de passer devant cette famille nombreuse.

Cette autre vue sur Rémicourt fait voir le sapin par lequel nous passerons avant de descendre sur Thiraucourt par le chemin à droite sur la photo. Vous pouvez distinguer sa cime légèrement à droite de la verticale passant par le clocher de l'église.

Pluie et travaux forestiers font souffrir les chemins ... et les randonneurs! Il faut regarder où mettre les pieds.

À l'emplacement de ce balisage, nous quittons le GR 507 pour descendre vers le Val d'Arol.

Nous pouvons observer ce pin "multi-troncs" pour le moins original.
Le feuillu est couvert de chatons qui annoncent la pousse prochaine des feuilles.

Soleil et nuages se marient pour créer des zones ensoleillées et des zones d'ombre qui soulignent le relief du paysage. La Plaine des Vosges dit-on ? Force est de constater que le relief s'invite dans la Plaine des Vosges constituée de collines et de vallons . C'est loin d'être un paysage plat comme pourrait le faire croire le terme de plaine.

En arrivant au ruisseau, nous passons à côté de deux étangs dont celui-ci est le plus grand.

En passant le ruisseau, nous observons ce pêcheur à la truite qui doit certainement faire attention à ne pas accrocher son hameçon dans la végétation et les arbres qui bordent le ruisseau.

Après avoir fait une pause après la traversée du ruisseau pour apprécier les cookies aux noix maison de Noëlle, nous passons par l'extrémité Est d'un chouette village, celui d'Offroicourt aux multiples décorations dessins et céramiques. 

À la sortie du village, nous passons devant ce chat qui n'est pas du tout craintif ...

À la sortie du village, nous nous dirigeons vers le ruisseau de Mettigny que nous traversons avant d'entamer la montée qui nous mènera au Bois Gimont.

À l'orée du Bois Gimont, un vaste panorama sur Thiraucourt et les cultures s'offre à nos yeux.

Par un chemin en tranchée dont un passage s'apparente au parcours du combattant, nous rejoignons la crête du Bois Gimont. 

Après avoir parcouru la crête du massif forestier, notre animateur nous fait voir le seul sapin qu'il a repéré dans cette forêt. Au milieu des feuillus, ce résineux est allé chercher la lumière bien haut.

Quittant ce sapin, nous descendons le Bois des États pour emprunter le chemin du retour à Thiraucourt.

Mes trois dernières photos avec cette vue de l'église Saint-Lambert, cette décoration de façade avec les chats et la souris puis le ruisseau du Val d'Arol pris depuis le pont qui nous conduit au parking.