nature

Aujourd'hui je vous propose quelques photos du jour de natures bien différentes, voyez par vous-même :

Le soleil ne va pas tarder à se lever, c'est le moment de prendre quelques photos. Après il sera trop tard du fait de la brillance du soleil.

Comme moi, peut-être vous demanderez-vous quel est ce nuage esseulé de forme bizarre qui finit par se dissiper en affichant des contours moins nets.

(Merci de cliquer sur les images pour les agrandir)

Après les photos d'akènes et aigrettes de pissenlit publiées hier, voici une photo prise à contrejour, des perles de rosée du matin sur les brins d'herbe de la pelouse. Je passe ainsi de l'infiniment grand à l'infiniment petit.

Depuis samedi plusieurs insectes de ce type passent dans le ciel lamadonien en survolant le sol à basse altitude. Il s'agit d'hélicoptères de l'armée française. C'est vrai que les hauteurs de Madonne-et-Lamerey sont une zone d'entrainement des aéronefs militaires à basse altitude.

Photographier des Mirages ou Rafales volant à basse altitude est quasiment impossible. Entre le moment où ils se font entendre et celui où ils passent, il n'y a aucune chance de les revoir après être allé chercher un appareil photo. C'est déjà plus facile avec les hélicoptères à condition d'avoir le matériel photo opérationnel à portée de main.

Hier je photographiais un bourdon butinant une fleur de camélia. Ce matin un hélicoptère passait juste au-dessus de la maison dans un vacarme effroyable car il volait à très basse altitude. Après m'être emparé de l'appareil photo, j'ai dû attendre quelques secondes pour le photographier car je ne le voyais pas en me penchant par une fenêtre. J'ai pu photographier de côté un deuxième hélicoptère un peu plus éloigné. La consultation des images d'hélicoptères sur le net, me fait dire qu'il s'agit d'hélicoptères de combat NH 90.

J'ai vu sur Facebook qu'il s'agit de manœuvres militaires avec des hélicoptères de combat du régiment de Phalsbourg mais il m'est impossible de retrouver cette publication. Une autre publication précise que ces manœuvres se déroulent du 16 au 31 mars 2024. 

En juin 2022, j'avais déjà surpris deux Tigres en vol dans le ciel lamadonien. Merci de cliquer sur le lien ci-dessous pour voir ou revoir cette article.

À la suite de mon précédent article, je voulais publier des photos du chantier d'aménagement du site du Monument Général Leclerc. C'est un article qui va me demander quelques heures de travail aussi je partage les photos prises ce jour en priorité.

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Le 19 septembre 2023, ayant l'intention de prendre quelques photos, je me promène le long du Madon à Mirecourt pendant que ma voiture est en révision.
En traversant le Madon par la passerelle qui relie l'Atelier du Musée de la Lutherie à ce dernier qui lui fait face, je remarque la présence d'un héron à proximité de la berge rive droite.

Le héron est dans l'ombre mais il n'échappe pas à mon regard.

(Cliquer sur les images pour les agrandir)

Je suis équipé d'un zoom de focale maxi de 200 mm monté sur un boitier plein format. Ce n'est pas spécialement ce qu'il faut pour la photo animalière que je pratique quand l'occasion se présente.
Je décide cependant de photographier ce héron en rejoignant la rive gauche du Madon pour être face à lui et m'en rapprocher quelque peu en étant à sa hauteur.

Raté ! Le héron lui aussi m'a remarqué, il prend son envol pour aller se percher au sommet d'un arbre. Je n'ai pas eu le temps de le photographier avant et pendant son envol.

La prise de vue à la focale de 200 mm et un recadrage de la photo (comme pour les suivantes) permet de mieux voir ce héron au sommet de l'arbre.

Alors que je l'observe depuis un moment, le héron finit par prendre son envol pour une destination inconnue. Peut-être est-ce lui que je reverrai au cours de ma balade.

Je reviens sur la rive droite pour longer le Madon en direction de la Chapelle de la Oultre, photographiant au passage le pont Stanislas (ou pont Saint Vincent) et la chute d'eau du Madon en amont de laquelle la rivière semble bien calme.

La chapelle de la Oultre

Oultre signifie au-delà.

Ayant atteint mon but de balade, je reviens sur mes pas et je retrouve un héron, le même peut-être je ne saurais pas dire, au pied du pont Stanislas. Je m'approche mais une fois encore, ce héron s'envole pour "remonter" le Madon.

Traversant le pont, je vois un héron au bord de la rive gauche du Madon. Je peux donc dire avec certitude que c'est un autre héron.

Alors que le héron tourne le dos à la rivière, il me semble bien voir surgir un poisson (à droite sur la photo) avant qu'il ne disparaisse rapidement sous l'eau.

Ce héron est en quête de nourriture, il ne prête pas attention à ma présence. Je vais pouvoir m'en approcher progressivement alors qu'il se contorsionne.

Le héron reprend sa marche lente à la recherche d'un poisson.

Il finira par saisir un poisson et à l'avaler en un éclair avant de prendre son envol. Une scène que j'ai admirée sans que j'aie le temps de prendre une seule photo. 

Je vous invite à voir ou revoir les photos de héron déjà prises à Mirecourt alors que j'étais équipé ce jour-là d'une plus grande focale. Article publié en août 2021.

Ce n'est pas la première fois que je peux observer des hérons à Mirecourt, voilà qui m'incitera à y retourner spécialement avec le matériel adapté à ce style de photographie bien différent de la photo de paysage.

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Voilà près d'un mois qu'il ne pleut pas dans la Plaine des Vosges. 
Les oiseaux souffrent aussi de la chaleur, c'est la raison pour laquelle il faut leur donner de l'eau.

Je leur mets un bac avec une pierre au milieu pour qu'ils ne se noient pas. À l'utilité pour eux, s'ajoute le plaisir pour moi de les observer venir boire et même se baigner pour s'ébrouer ensuite.

Une nécessité toutefois, il faut nettoyer le bac fréquemment (tous les jours) car la chaleur fait que de la mousse se forme sur les parois.

Voici quelques photos prises ce jour, il y a du monde à la plage !

(Cliquer sur les images pour les agrandir)

La verveine de Buenos-Aires que ma voisine m'a donnée, se développe à merveille là où je l'ai plantée. Cette plante est composée de nombreuses grandes branches qui se termines par de magnifiques bouquets de petites fleurs.
Comme le roseau, les branches se balancent au gré du vent sans jamais plier ou céder.

Cette plante attire les insectes butineurs, abeille, bourdon mais aussi le moro-sphinx que je vois tous les jours. Il m'arrive d'en voir deux et même plus rarement, trois en même temps. 
Pour changer un peu de style de publication, je vous propose cette série de photos rapprochées du moro-sphinx sur la verveine de Buenos-Aires.

Bien qu'il ait l'apparence d'un papillon de nuit, le moro-sphinx est un papillon diurne. Sa particularité est qu'il a la faculté de puiser le nectar des fleurs avec sa longue trompe tout en faisant du vol stationnaire, donc sans se poser sur la fleur.

Avec environ 70 battements d'ailes à la seconde (J'avais écrit au départ 70 battements d'ailes à la minute, ah la canicule ! merci à un ami qui me l'a signalé), le moro-sphinx virevolte rapidement d'une fleur à l'autre d'où la difficulté pour le photographier. Il peut voler à la vitesse de 40 à 50 km/h.

Le moro-sphinx est également appelé sphinx colibri en raison de la ressemblance de son vol avec celui du colibri.

Dans les Vosges, depuis fin juillet 2022 et ce début août 2022, nous dépassons allègrement les 30°C de température. Cette température convient à ce papillon migrateur dont la présence est un signe du réchauffement climatique.
Pour que vous ayez de plus amples renseignements, je vous invite à lire l'article datant de juillet 2015 que j'ai trouvé sur internet, en suivant le lien mis en fin d'article.

Détail de prise de vue, il est important de ne pas choisir une vitesse d'obturation trop élevée afin de ne pas figer le mouvement du moro-sphinx. Il faut que le choix de la vitesse d'obturation permette de restituer le battement des ailes sous forme de flou.

(Cliquer sur les vignettes pour agrandir les images)

J'ai pu avoir deux papillons moro-sphinx dans le champs de l'objectif mais difficile de faire la netteté sur les deux simultanément en raison de la grande focale utilisée à courte distance.

J'ai pris ces deux dernières photos aujourd'hui 7 août 2022 en fin de matinée. Si le vent n'avait pas l'air de gêner le moro-sphinx, il n'en n'était pas de même pour moi. Avec la grande focale utilisée à 1,50 m du sujet, la verveine qui bouge dans tous les sens et le moro-sphinx qui va très rapidement d'un bouquet à l'autre, il faut prendre une vingtaine de photos pour en avoir une ou deux réussie.

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Le 10 mai 2021, je publiais l'article "En passant par VILLE-SUR-ILLON" dans lequel je présentais les photos prises à VILLE-SUR-ILLON et LES ABLEUVENETTES. Je vous invite d'ailleurs à voir ou revoir cette publication en suivant le lien en fin d'article.

Depuis le début du mois de février, j'ai laissé passer quelques belles journées qui m'auraient permis de faire des sorties photos mais j'avais un travail d'aménagement intérieur que j'ai considéré comme prioritaire. À, défaut d'avoir pu prendre de nouvelles photos par temps ensoleillé, je publie celles de DAMAS-ET-BETTEGNEY et HENNECOURT prises lors de ma balade à vélo du 20 février 2021.

Arrivant de VILLE-SUR-ILLON par la D6, je m'arrête pour prendre cette vue plongeante et rapprochée sur DAMAS ET BETTEGNEY avec les vergers en premier plan. Une photo à refaire à l'occasion, quand les arbres fruitiers seront en fleurs.

(Cliquer sur les images pour les agrandir)

L'église Saint-Médard date de 1724 (Source Wikipédia)

Cette croix est située à l'intersection de la Rue du 12 Septembre (D6B) et de la Rue de l'Etrau. Elle présente le Christ en croix et au revers, une Vierge à l'Enfant.

De section carrée à sa base, le fût est ensuite de section octogonale. Cette croix a souffert avec les années, peut-être des dégradations dues à des infiltrations suivies de fortes gelées auxquelles auraient pu s'ajouter des dégradations volontaires, je ne m'avancerai pas plus, ce ne sont que des suppositions.

La chapelle est située à l'intersection de la Rue du Lieutenant Larsen et de la Rue de la Chapelle.

La chapelle date de 1639.

La chapelle est fermée mais il est possible de voir et photographier l'intérieur en approchant l'objectif contre la vitre pour éviter les reflets.

Sur le mur de la chapelle donnant sur la Rue de la Chapelle, cette ancienne plaque en fonte indique la direction d'HENNECOURT et de GORHEY.

Renseignement trouvé sur le web, les plaques en fonte avec lettres en relief ont fait leur apparition en 1840. Elles étaient nommées "tableau indicateur" ou "plaque indicatrice" et disposées à une hauteur qui permette leur observation par les cochers. Ce n'est qu'entre les années 1995 et 2000 qu'elles ont été appelées "plaque de cocher"

Après ces quelques photos de la chapelle Notre-Dame de Bonsecours, je prends la direction de HENNECOURT. En arrivant sur les hauteurs de HENNECOURT par la route de DAMAS, je m'engage sur le premier chemin sur la gauche qui m'offre cette vue générale sur le village. Une vue générale suivie d'une vue au zoom ciblée sur l'église Saint-Martin et la mairie située à sa droite. (Bâtisse avec volets battants de couleur vert d'eau).

Après avoir pris ces vues générales de HENNECOURT, je ne m'attarde pas car j'ai déjà eu l'occasion de publier un reportage photo du vieux puits couvert, du lavoir, des fontaines et du Rupt Julot. Je vous invite d'ailleurs à voir ou revoir l'article "HENNECOURT, un charmant village de la Plaine des Vosges" en cliquant sur le lien en fin de cette publication.

Je termine mon parcours à vélo en rejoignant la route qui s'est substituée à l'ancienne voie ferrée puis en passant par la "Voie béton" pour arriver à DOMPAIRE.

En février 2021, je n'avais pas photographié la Croix de Mission entourée des statues de la Vierge et de Saint-Jean qui font face à la chapelle en raison de la position défavorable du soleil (contrejour). Un article sur DAMAS-ET-BETTEGNEY sans évoquer le calvaire qui fait face à la chapelle, serait incomplet.
J'y suis allé vendredi 4 février 2022 matin, certes le temps était maussade mais je voulais ajouter une ou deux photos du calvaire un complément à cet article, j'aurai bien l'occasion d'y retourner par temps plus favorable.

La croix de mission est datée de 1891. À gauche la statue de la Vierge porte l'inscription ECCE MATER TUA qui signifie Voici ta mère. À droite la statue de Saint-Jean porte l'inscription ECCE FILIUS TUUS qui signifie voici ton fils.

Un élément qui ne trompe pas sur la date de prise de vue, vous remarquerez en arrière-plan quelques machines du récent parc éolien "Entre Madon et Moselle".

En 2021 j'avais emporté un appareil photo compact, balade à vélo oblige, afin de limiter l'encombrement et le poids du matériel. Cette année, m'y étant rendu en voiture j'avais le matériel adéquat pour photographier l'autel de la chapelle dans son intégralité avec un objectif grand-angle.

J'en ai profité pour photographier le Saint-Nicolas situé sur le mur gauche de la chapelle. Les reflets dus à la position de l'objectif que je devais maintenir à 45° par rapport à la vitre, donnent un effet d'aquarelle à la photo.

Depuis 2021, j'ai vu sur le web qu'il y a en façade sur le pilier gauche de la chapelle, une inscription gravée définissant l'historique de la chapelle. Jeudi 4 février 2022, c'était le moment d'en prendre une photo.

Nous lisons : "CETTE CHAPELLE A ÉTÉ BÂTISE PAR D^--- MANGIN MAIRE DE DAMAS ELLE APPARTIENT À LA COMMUNE L'ANNÉE 1839"

Cette inscription m'amène à me demander ce qu'il faut comprendre par "Bâtise", bâtie ou baptisée ?

Le site Petit Patrimoine dont j'indique le lien ci-dessous, parle de baptisée. Il y est précisé que la chapelle appartiendrait à la commune depuis 1639, cependant je pense qu'il s'agit d'une erreur de plume car nous pouvons lire distinctement 1839 sur l'inscription. 

Tout comme la randonnée pédestre, la balade à vélo me permet de prendre le temps de découvrir et photographier les éléments caractéristiques du petit patrimoine des villages de la Plaine des Vosges. La recherche sur internet est bien pratique pour apprendre et pouvoir apporter quelques précisions à la publication des photographies.

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