J'apprécie les villes et villages fleuris comme vous avez pu le voir dans mes publications sur le fleurissement de DOMPAIRE ainsi que de MADONNE ET LAMEREY. Ma passion pour les fleurs ne s'arrête pas là, je m'efforce de rendre les abords de la maison agréables en fleurissant le terrain comme le font beaucoup de particuliers.

J'ai semé en limite de propriété cette année, une bande de cosmos prolongée par une bande de fleurs des champs aux multiples couleurs. C'était une première expérience qui s'avère concluante.
Une expérience agréable à l'œil mais non seulement car utile notamment pour les abeilles. Les papillons viennent s'y nourrir.

Je vous invite à voir les quelques photographies qui suivent, invitation au voyage parmi les fleurs et les insectes.

Ces fleurs qui attirent abeilles et papillons m'ont incité à photographier tout ce petit monde avec pour les visiteurs que la technique intéresse pour les photographies de détail, un zoom 70/200 mm calé à 200 mm, monté sur reflex APSC soit une focale équivalente de 300 mm ce qui permet d'isoler le sujet principal sur un flou d'arrière-plan.

Il faut être patient car les fleurs perchées au bout de longues tiges se balancent au gré du vent. Photographier à vitesse élevée et avec le stabilisateur d'image ne suffit pas, il faut déclencher au moment opportun quand le balancement cesse un instant avant de reprendre de plus belle.

L'abeille butine et tout le monde sait combien l'activité des abeilles est importante pour la production de miel, pour la pollinisation des fleurs dans le cycle de production des fruits et légumes.

Le papillon vient se nourrir du nectar des fleurs en déroulant sa trompe.

Pas facile à photographier ce papillon qui reste très peu de temps en place en virevoltant sans cesse. À 200 mm de focale, il a vite fait de sortir du champ de l'objectif.

Quand le ciel bleu se fait rare comme pendant cet été 2021, profiter d'une éclaircie en s'intéressant à la nature au plus proche de soi permet de ne pas laisser le matériel photo au placard et d'obtenir de belles images. 

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Aujourd'hui 06 septembre 2021, je publie ma première mise à jour l'article d'origine du 23 août 2021 pour intégrer les photographies de la sculpture sur pierre de Mathieu DEFER qui m'a autorisé à en publier les photographies.

Le jeudi 5 août 2021, j'ai publié un article général sur le 8° Symposium de Sculptures - Les Monumentales Mirecurtiennes, qui s'est tenu Cours Stanislas à MIRECOURT du 24 juillet au 1er août.

Je souhaitais faire un article plus complet pour présenter l'évolution de la réalisation des sculptures par les artistes.

Leur œuvre étant protégée par les droits d'auteur, j'ai contacté chacun des dix sculpteurs pour leur présenter les photos que je souhaiterais publier sur Photographies VOSGES-en-PLAINE et notamment pour leur demander s'ils m'autorisent à les publier. Dans ma demande, j'ai précisé que je réalise ce blog dans un but non lucratif, pour partager ma passion pour la photographie et contribuer à développer le tourisme dans la Plaine des Vosges.

J'ai réussi à entrer en relation avec neuf des sculpteurs qui m'ont accordé leur autorisation. Je les en remercie très sincèrement.
Si je réussis à entrer en contact avec Louis TAULELLE sculpteur sur métal et qu'il m'accorde son autorisation, je ne manquerai pas de faire une deuxième mise à jour de cette publication.

Je précise que le droit de publier qui m'est accordé par les sculpteurs n'est pas transmissible aussi mes photographies ne doivent pas être copiées pour être utilisées à une autre fin.

Le 8° Symposium de Sculptures était placé sous le thème du Voyage.

Je présente mes photographies dans l'ordre sculptures sur bois, sculptures sur métal et sculptures sur pierre. Puis pour chaque type de sculptures, je reprends les sculpteurs par ordre alphabétique. 
Deux sculpteurs m'ont demandé de préciser l'adresse de leur site internet.

Les sculptures sur bois sont réalisées sur un tronc de chêne d'environ 4 mètres de hauteur

Les sculptures sur métal étaient une nouveauté à ce symposium. Nous avons pu voir le travail du métal sur une ancienne cuve et par fer forgé. Je présente ici les photographies de la sculpture sur une ancienne cuve.

Les sculptures sur pierre sont réalisées sur un bloc de grès des Vosges d'environ deux mètres de hauteur sur cinquante centimètres de côtés. 

Il n'est pas aisé de définir le lien qu'a voulu exprimer chaque sculpteur par rapport au thème du Voyage. Je me contenterai de définir ce que je perçois comme lien pour quelques sculptures.

 Je vois une invitation au voyage par le livre. À la base des livres fermés, puis des livres ouverts pour finir par des oiseaux qui s'envolent vers une étoile.

Les pays du monde sont représentés par leur couvre-chef. Béret Basque, chapeau Chinois, chapeau de cowboys, chapeau Mexicain, etc.

Une invitation au voyage par la lecture

Je devine une forme de pied à l'extrémité de la sculpture, alors peut-être une invitation au voyage par la marche ?

Une ronde d'enfants qui regardent vers les cieux avant un lâcher de ballons. 

Cette sculpture finement travaillée me fait penser à un voyage au pays des Incas

Cette sculpture m'inspire le voyage par la pensée entre deux personnes dont l'une peut-être a quitté le monde des vivants ou alors peut-être le voyage de la terre au ciel avec un ange en partie supérieure de la sculpture ?

Ces interprétations ne sont que l'expression de mon ressenti. Bien entendu si les sculpteurs souhaitent faire part de leurs précisions, je les invite à le faire sous forme d'ajout de commentaire à ma publication. Je reprendrai ensuite textuellement ces précisions dans le corps d'article.

Je remercie par avance Jacques Dumas et Maximilien Soullier s'ils peuvent apporter une précision sur le lien de leur sculpture avec le Voyage car j'ai voulu éviter de mal interpréter leur œuvre.

Jean Bergeron a obtenu le Prix des Artistes pour sa sculpture sur bois.

Aude Vaxelaire a obtenu le Prix du Public et le Prix des Enfants pour sa sculpture sur métal.

Je n'avais pas pu me rendre à MIRECOURT le dimanche 1er août pour admirer les sculptures terminées, dommage car il faisait beau. J'y étais allé le mercredi 04 août mais le temps était hélas à la grisaille comme vous avez pu le voir dans les dernières photos de chaque sculpture.

Le mercredi 11 août, la météo était au beau fixe, revenant de la Colline de Sion que j'avais fait découvrir à des amis, je suis passé par MIRECOURT pour leur faire voir les sculptures. C'était le moment idéal pour la photographie, l'éclairage étant orienté favorablement en fin de journée.

J'ai donc photographié chaque sculpture et en complément aux photographies pour lesquelles j'ai demandé l'autorisation de publication, je publie ce photomontage que j'ai réalisé pour terminer ce reportage photographique sur une note ensoleillée qui met en valeur le talent des sculpteurs et la beauté de leur œuvre d'art.

Bien entendu, ce photomontage n'est pas exhaustif, si je réussis à entrer en contact avec Louis TAULELLE et qu'il m'accorde son autorisation, je ne manquerai pas de compléter ce photomontage.

MIRECOURT est déjà mondialement connue pour être la capitale française de la Lutherie. Les Monumentales Mirecurtiennes font partie de l'attractivité culturelle de la Plaine des Vosges et de la ville de MIRECOURT en permettant aux artistes Français et Étrangers d'exprimer leur talent et leur créativité. Les voir travailler leur œuvre d'art dont on peut suivre l'évolution sur une semaine est passionnant. Je suis admiratif de voir leur habileté à travailler dans l'espace.
Grand merci aux artistes, aux organisateurs de ce Symposium, à la Communauté de Communes Mirecourt Dompaire, à la Ville de MIRECOURT et à toutes les personnes et organismes concernés que je n'aurais pas cités.

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La météorologie de cet été 2021 n'est pas des plus estivales, les agriculteurs doivent composer avec elle pour saisir les créneaux les plus favorables et travailler de manière intensive afin de préserver leur récolte. C'est notamment le cas de la moisson.

La moissonneuse-batteuse a deux fonctions, d'une part elle fauche les céréales, d'autre part elle sépare le grain des épis et de la paille. La paille est rejetée au sol sous forme d'andains (bande continue) derrière la moissonneuse-batteuse.

La moissonneuse-batteuse stocke le grain qu'elle déverse ensuite dans une remorque attelée à un tracteur. J'ai déjà vu le tracteur et sa remorque suivre la moissonneuse-batteuse qui rejette le grain au fur et à mesure dans la remorque. Dans le cas présent le tracteur et sa remorque sont attente à un point fixe, la moissonneuse-batteuse vient y déverser le grain qu'elle a stocké provisoirement.

(Cliquer sur les flèches ou sur la photographie pour faire défiler les images)

Après la moisson, une ramasseuse-presse est utilisée pour mettre en ballots les andains de paille.

(Cliquer sur les flèches ou sur la photographie pour faire défiler les images)

Sur cette petite parcelle, le foin est mis en botte par une machine déjà ancienne. Les bottes sont empilées sur une remorque tirée par un véhicule 4x4.

Le parle de foin et il doit plutôt s'agir de regain, à savoir l'herbe de la deuxième coupe qui se fait en août. La première coupe de juin produisant le foin.

Cet article n'est qu'un aperçu des activités agricoles de l'été que j'ai eu l'occasion de photographier. Il y en a bien d'autres comme le fauchage de l'herbe pour le regain, le chargement des ballots de paille, la préparation des sols après la moisson pour les futurs semis, labour, hersage etc.
La ronde des engins agricoles qui commence tôt le matin pour finir tard le soir et même de nuit, témoigne du travail intensif que représente le métier d'agriculteur. Un travail de première nécessité dans la chaîne alimentaire, qui doit être reconnu.

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Mercredi 4 août 2021, alors que je suis sur le cours Stanislas de MIRECOURT pour photographier les sculptures monumentales, mon regard est attiré par ce héron cendré qui semble avoir élu domicile entre la passerelle qui permet de traverser le Madon du Musée de la Lutherie à l'Atelier du Musée et le pont Stanislas. 
Sans doute est-il à la recherche de quelque poisson à pêcher car il n'arrête pas d'aller d'un point à un autre.

L'appareil étant équipé d'un objectif zoom de longue focale, c'est le moment de photographier les évolutions de ce héron.

Il ne me manque dans cette série photographique une photo du héron avalant un poisson qu'il aurait pêché mais il est resté bredouille.

Dommage car le samedi 31 juillet, j'ai vu un héron près de la passerelle, peut-être le même ; qui avalait en trois coups de bec un poisson pêché dans le Madon. Je m'étais contenté de le regarder car je n'avais qu'un objectif courte focale monté sur l'appareil. Alors peut-être une prochaine fois ...

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