Hier après-midi 13 mars 2023, il tombe des hallebardes sur Madonne-et-Lamerey. Rien que pour nous inquiéter, la grêle se joint à la pluie pendant une trentaine de secondes. Heureusement les grêlons sont de petites taille, rien à voir avec les grêlons qui occasionnent des dégâts considérables comme l'évolution du climat nous le rappelle depuis quelques années en France.
Soudain, le soleil fait sa réapparition au Sud-Ouest alors que les nuages continuent leur course vars le Nord-Est. Je me dis qu'un arc-en-ciel ne devrait pas tarder à se faire voir.
C'est le moment pour prendre l'appareil photo. Je ne prends pas le temps de changer d'objectif afin de ne pas perdre de temps, si nécessaire je ferai un assemblage panoramique de deux photos.
Un double arc-en-ciel
Il tombe encore des gouttes mais ça ne m'empêche pas d'aller dehors pour photographier cet arc-en-ciel naissant, que je trouve un peu timide même si je distingue le deuxième arc qui se forme.
Même en prenant deux photos, pour faire une panoramique, je n'aurai pas l'intégralité du deuxième arc.
En regardant bien la photo, remarquez que la couleur des deux arcs sont inversées. Du rouge au violet en allant vers le sol pour le premier arc (le plus visible), alors que c'est du violet au rouge.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
Les pieds de l'arc-en-ciel
Ce sont les pieds de l'arc-en-ciel qui montrent les couleurs les plus intenses dues à la décomposition de la lumière du soleil par les gouttes de pluie qui tombent dans l'atmosphère.
Plus on se rapproche du sol, plus les couleurs de l'arc-en-ciel sont intenses.
La couleur chaude du sol est impressionnante.
Petit à petit, le deuxième arc finit par ne plus être visible.
Est-il possible d'aller au pied de l'arc-en-ciel ?
Il serait tentant de se dire, il suffit de me rendre dans le champ pour rejoindre le pied de l'arc-en-ciel qui s'est formé.
Seulement la réponse est non. L'arc-en-ciel est un phénomène lumineux qui se déplace au fur et à mesure que l'observateur qui a le dos à la lumière du soleil s'en rapproche.
Pour simplifier, l'arc-en-ciel c'est comme l'horizon, on s'en approche sans jamais pouvoir le rejoindre.
Conclusion
Comme disait le garde-champêtre dans ma jeunesse après quelques roulements de tambour : "après la pluie vient le beau temps".
Photographes, levez alors les yeux au ciel pour voir s'il n'y aurait pas un arc-en-ciel, magie de la décomposition de la lumière du soleil, à photographier.
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Le lundi 13 février 2023, Philippe, animateur de randonnée de l'association L'Astragale de Mirecourt, nous fait découvrir un parcours en boucle au départ d'Ambacourt, passant par Pont-sur-Madon.
La carte de l'itinéraire
C'est la trace de l'itinéraire que j'enregistre sur mon GPS de randonnée.
Chemin faisant
Peu après le départ nous apercevons déjà le village de Vomécourt-sur-Madon.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
La beauté des arbres
Ces trois feuillus semblent s'être aventurés dans la prairie en tournant le dos à la forêt. Les branches sont venues chercher la lumière.
L'église Saint-Martin de Vomécourt-sur-Madon
Nous arrivons à hauteur du village de Vomécourt-sur-Madon dominé par le clocher de son église.
Du chemin de randonnée, nous devinons le lit du Madon qui finit par se découvrir.
En arrivant à la ferme de Trimoulot
Nous sommes sur le chemin de Trimoulot, à 3 km du départ d'Ambacourt.
Cette photo prise en contrejour souligne le relief de la prairie.
La ferme de Trimoulot
Trois cents mètres plus loin, nous sommes à la ferme de Trimoulot. Dommage je n'ai pas pris de photo en arrivant à la ferme, je me rattraperai en la quittant.
Nous y marquons une pause. (Cette photo insérée dans le texte ne peut pas être agrandie)
Cette ferme est abandonnée, un panneau situé en haut de la grange qui jouxte la ferme, s'adresse aux promeneurs.
À gauche de la ferme, la source de Trimoulot canalisée a un bon débit.
Le bois de l'Ormont
Ce paysage m'inspire. Les noisetiers en fleurs meublent le ciel sans nuage. L'éclairage rasant confirme le relief de la prairie déjà évoqué. En arrière-plan, le Bois de l'Ormont.
Des dessins de Jean Scherbeck à la ferme de Trimoulot.
Pénétrant dans la grange de la ferme de Trimoulot, je remarque ses dessins et cette coupure de presse qui y sont affichés.
Ces dessins de Jean Scherbeck dont je vous invite à découvrir la vie en agrandissant la coupure de presse, trouvent toute leur place dans cette ferme abandonnée. Un arrêt sur image sur une époque où les gens vivaient dans la simplicité et en communion avec la nature.
La cuisine de la ferme de Trimoulot
La porte d'entrée de la ferme est entrouverte. Un panneau y interdit l'accès car il y a des risques d'effondrement. Restant sur le pas de la porte, je risque un œil pour photographier ce que je peux saisir.
À droite en premier plan, une magnifique pierre à eau, l'évier en grès de l'époque.
Vue de la ferme de Trimoulot
Après la pause, nous quittons la ferme en direction de Pont-sur-Madon. J'en profite pour en prendre une photo une centaine de mètres plus loin.
Je suis surpris de voir que cette ferme est abandonnée. La toiture parait être en bon état, il y aurait moyen d'y aménager un havre de paix mais la création d'un moyen d'accès carrossable dénaturerait probablement la tranquillité du paysage.
Cette ferme a une âme. Comme on dit, si les murs pouvaient parler, ils auraient bien des choses à nous raconter.
En direction de Pont-sur-Madon
Toujours sur le chemin de Trimoulot, nous nous dirigeons vers Pont-sur-Madon.
Nous voyons des maisonnettes de part et d'autre du chemin quand celui-ci se rapproche du Madon. Certaines paraissent abandonnées au vu de la végétation qui les entoure, d'autres sont toujours entretenues.
Un arrêt soudain
Alors que nous avons quitté la ferme de Trimoulot il y a peu de temps, Philippe arrête le groupe. Nous nous demandons pourquoi mais nous comprenons vite quand il nous invite à regarder en direction de la rive gauche toute proche du Madon : surprise, les castors sont passés par là !
Si généralement les castors se contentent de se faire les dents à la base des arbres pour les faire tomber, non seulement cet arbre coupé à sa base est resté accroché aux autres par ses banches mais a été tronçonné par les castors en plusieurs morceaux. J'écris "les castors" mais à vrai dire s'agit-il d'un seul ou de plusieurs castor, le tableau que nous voyons ne le dit pas.
La Saint-Valentin
Demain 14 février, c'est la Saint-Valentin. Ces deux poneys s'apprêteraient-ils à la fêter ? Allons savoir !
Une surprise de taille
Arrivés à Pont-sur-Madon, Philippe nous invite à faire un détour pour nous montrer quelque chose, sans nous dire quoi. Nous reviendrons ensuite sur nos pas pour continuer la randonnée.
En y arrivant, nous découvrons un arbre de belle taille auquel des castors se sont attaqués.
Nous en approchant, nous voyons que l'homme est passé par là pour limiter la casse. La base du tronc est entourée de fil de fer barbelé.
Avec tout ce que j'ai déjà vu et photographié, je me dis que j'aurai matière à publier un résumé de cette randonnée.
Nous retraversons le Madon (photo prise du pont) puis nous nous élevons au-dessus de Pont-sur-Madon.
En randonnée, j'aime marquer des arrêts pour me retourner et voir le paysage que nous quittons. En arrière-plan, nous revoyons le clocher de l'église Saint-Martin de Vomécourt-sur-Madon.
La colline de Sion - Vaudémont
Après avoir fait une grimpette de 55 mètres de dénivelé environ en suivant le chemin de Forcelles-sous-Cugney à Pont-sur-Madon, nous arrivons sur un plateau où s'offre à nos yeux la colline de Sion - Vaudémont.
En agrandissant l'image, vous devinez à droite de la colline, la basilique Notre-Dame de Sion et à gauche le monument Maurice Barrès, signal de Sion - Vaudémont.
À ce point de vue, nous suivons le chemin qui rejoint le Bois de Harvaux.
La tranchée du Bois de Harvaux
Nous passons ensuite par le Battant, Les Taillottes, pour déboucher près du réservoir d'eau, sur la route qui mène de la ferme de Bellevue à Ambacourt. De ce point, nous avons la vue sur une partie de Mazirot à droite de la photo. Ambacourt est caché en contrebas à gauche. Nous entrons de nouveau dans le bois des Taillottes pour atteindre le Haut de la Rappe.
Descente du Haut de la Rappe à Ambacourt.
Du haut de la Rappe, nous entamons une descente d'un dénivelé de 90 m pour rejoindre le point de départ à Ambacourt
Le retour à Ambacourt
En rejoignant le point de départ, nous passons par l'église saint-Pierre, nous voyons le calvaire situé à gauche au pied de l'église, une sculpture sur bois provenant d'un Symposium de Sculptures de Mirecourt puis le Monument aux Morts.
Le soleil déjà bien bas, apporte cette couleur chaude.
Conclusion
La marche en groupe est un plaisir et bonne pour la santé. Quand elle permet de découvrir des centres d'intérêt particuliers du territoire, le plaisir est doublé.
La randonnée est un précieux atout pour moi qui veut contribuer à la mise en valeur de la Plaine des Vosges en publiant entre autres, des reportages photographiques de randonnées, qui pourront inciter des visiteurs de Photographies VOSGES en PLAINE, à faire eux-mêmes ces randonnées.
Merci à Philippe de l'Astragale qui nous a préparé cette randonnée
Je vous remercie pour votre visite
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Mardi 21 février 2023, je décide de passer par Frébécourt qui se situe au pied du château de Bourlémont et Grand, avant de me rendre en Haute-Marne à Bettaincourt-sur-Rognon (Roches-Bettaincourt depuis la fusion des deux communes) où je passais des vacances dans ma jeunesse, chez mes grands-parents maternels.
Le Château de Bourlémont
Le château de Bourlémont qui domine la vallée de la Meuse est situé sur le territoire de la commune de Frebécourt.
Le parc et la chapelle du château se visitent en été (voir le lien ci-après). Je me suis contenté de le photographier depuis la D53 lors d'arrêts en amont du village, à l'entrée du village puis à sa sortie près du cimetière.
Les vues de ce château sont pour moi une incitation à aller visiter le parc et la chapelle pendant la prochaine saison d'ouverture au public.
Pour connaître l'histoire, les jours et horaires de visite du parc et de la chapelle du Château de Bourlémont :
Se rendre sur le site en cliquant sur le lien ci-dessous.
Je profite de mon arrêt près du cimetière à la sortie de Frebécourt d'où je prends ma dernière photo du château, pour photographier la basilique sur Bois Chenu de Domrémy.
J'ai déjà publié un article sur la basilique du Bois Chenu ou basilique Sainte-Jeanne-d'Arc, que vous pouvez voir ou revoir en cliquant sur le lien ci-dessous.
Samedi 24 mai 2021 fin d'après-midi, nous passons par la basilique Sainte-Jeanne-d'Arc de DOMRÉMY-LA-PUCELLE. Adossée au coteau dit "Coteau de la Basilique" qui surplombe la vallée de la Meuse,...
L'amphithéâtre de Grand date de l'époque gallo-romaine. J'en connaissais l'existence mais je n'y étais jamais allé. Après Frebécourt, allant dans la direction de la Haute-Marne c'est le moment d'y passer.
C'est la surprise, je ne vois pratiquement rien depuis le parking situé en face de l'amphithéâtre. Cet amphithéâtre est clôturé par une haie qui ne laisse rien entrevoir, une porte conditionne l'accès et ce jour-là c'est porte close. Pas de chance, j'aurais dû me renseigner sur internet préalablement pour choisir le jour. Il faut dire que j'imaginais un amphithéâtre comme celui de la ville d'Autun située dans le Parc Naturel Régional du Morvan, amphithéâtre qui est dans son cadre naturel non clôturé donc accessible à tout moment. J'y ai pris la photo qui suit en juin 2019 lors d'un séjour visite-randonnée dans le Morvan organisé par mon ancienne association de randonnée de Carrières-sous-Poissy (Yvelines).
Pour revenir à Grand, il y a cependant une partie de l'amphithéâtre visible depuis la route. Il s'agit des gradins qui ont été ajoutés. C'est quelque peu troublant de voir des gradins ajoutés sur un amphithéâtre romain. Une recherche internet à mon retour, m'apprend que ce sont des gradins en bois d'iroko qui ont été mis en place pour recouvrir et protéger la partie d'origine en pierre calcaire qui s'était fortement érodée avec le temps. Ils servent également à l'organisation de spectacles.
N'ayant pas pu y entrer, je n'ai pas pris de photo, j'ai voulu voir Grand, je n'ai pas vu grand-chose puis-je dire avec un trait d'humour. Il faudra bien entendu que j'y retourne un jour d'ouverture et de beau temps, d'autant plus qu'il y a aussi la Grande Mosaïque dont j'ignorais l'existence et la chapelle, à voir à Grand.
Renseignements pratiques sur Grand
Se rendre sur le site en cliquant sur le lien ci-dessous.
J'écris au début de cet article que le but de cette sortie est de me rendre en Haute-Marne à Bettaincourt-sur-Rognon. Mes grands-parents maternels y résidaient dans ma jeunesse, avant de venir s'installer à Neufchâteau puis sur leurs vieux jours à Bruyères afin de se rapprocher de mes parents.
Vous me permettrez de faire une exception à mes publications habituelles en faisant un clin d'œil à nos voisins Haut-Marnais, je présente deux photos du Cul du Cerf et cinq photos de Bettaincourt-sur-Rognon.
Le Cul du Cerf
Le Cul du Cerf est tout proche du département des Vosges. Situé sur le territoire de la commune d'Orquevaux, la distance à vol d'oiseau qui le sépare de la limite départementale Haute-Marne / Vosges est seulement d'un kilomètre.
Ce site remarquable est un effondrement en forme d'entonnoir à pente raide avec en point bas l'exsurgence d'une rivière souterraine, source de la Manoise.
La situation du Cul du Cerf :
Remarquez sur la première photo que de la fumée s'élève du Cul du Cerf, je n'irai pas jusqu'à écrire que le cerf a le feu au ... 😉
Ces deux photos sont prises de points diamétralement opposés.
BETTAINCOURT-SUR-ROGNON
En réalité le village s'appelle Roches-Bettaincourt, depuis la fusion des deux communes de Bettaincourt-sur-Rognon et Roches-sur-Rognon.
La situation du village :
Je présente une photo panoramique du village, la partie construite la plus à gauche n'existait pas à l'époque où j'y allais.
Sur la deuxième photo, c'est le cœur du village que j'ai connu. La troisième photo est une vue prise de la rive gauche du Rognon en direction du centre village.
Je termine avec ces deux dernières photos, la chute d'eau du Rognon et les reflets du village sur le Rognon. La pêche aux vairons pour la friture et à la truite était un de nos loisirs durant les vacances en Haute-Marne. Il y avait aussi la cueillette des fraises de bois pour la confiture que faisait ma grand-mère, la cueillette des rosés des prés et surtout des girolles de très belle taille qui se plaisaient à merveille dans les forêts de feuillus.
Conclusion
Après le château de Bourlémont et Grand où je retournerai, je me suis permis de vous présenter ce détour par la Haute-Marne, qui a pour moi une valeur sentimentale.
Je reviens dans la plaine des Vosges pour mes prochaines publications avec un reportage d'une randonnée effectuée du côté de Pont-sur-Madon et un reportage sur la scierie de Hennecourt / Gorhey.
J'ai encore bien d'autres lieux à découvrir, ce ne sont pas les idées qui manquent. Par exemple, je n'ai fait qu'y passer lors de la sortie que je relate dans cet article, mais je compte bien me rendre au printemps à Châtenois où je suis invité à venir pour y faire une visite guidée.
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Dans cette publication, Je vous invite à rejoindre les cratères lunaires en 1/160e de seconde.
Le 03 mars 2023 peu après le crépuscule, il est 18h40, je remarque que la lune est particulièrement brillante sur fond de ciel encore bleu. Ce n'est pas encore la nuit.
Equipé d'un zoom réglé à 500 mm de focale sur boitier APSC, soit focale équivalente de 750 mm en 24 x 36, je prends une série de photo à main levée, en étant en appui contre une fenêtre avec les réglages suivants : ISO 100, Vitesse 1/160e de seconde, diaphragme f/5.6, stabilisation de l'objectif activée, mesure spot de la lumière.
Sur une douzaine de photos prises, une seule est exploitable, les autres ont un flou de bouger. Voilà qui justifierais de mettre l'appareil sur pied photo.
Je vous présente la photo initiale.
Première remarque, le ciel est pratiquement noir alors que j'écris qu'il est encore bleu. C'est tout simplement l'écart de luminosité entre le ciel et la lune qui justifie d'utiliser la mesure spot de la lumière pour que la lune ne soit pas "grillée" avec la conséquence d'avoir un ciel sous-exposé.
Deuxième remarque, la lune occupe peu de place sur la photo initiale malgré la grande focale utilisée.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
La lune pas assez grande sur la photo ? C'est là que la magie du développement de fichier photo numérique intervient avec le recadrage, ce qui n'était pas possible avec la photo argentique, à moins de disposer d'un laboratoire photo.
Voici deux recadrages de la photo originale.
Ce dernier recadrage est permis grâce à la haute définition de la photo originale.
Par rapport à une pleine lune, l'éclairage de cette lune partielle met en relief les cratères lunaires.
Conclusion
La lune est toujours aussi fascinante à regarder et à photographier.
J'ai cependant un regret, celui d'avoir louper dans la nuit du 1er au 2 février, le rapprochement de Vénus et Jupiter qui pourtant se distinguaient bien dans le ciel par leur brillance.
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Samedi 11 février 2023, revenant des Lacs de la Folie de Contrexéville, je compte m'arrêter au col du Poirier pour profiter du coucher de soleil. Je suis dans les temps, j'y arrive quand le soleil est encore au-dessus de l'horizon.
Le Col du Poirier est situé à l'intersection de la D165 et de la D28A sur le territoire de la commune de Monthureux-le-Sec, à 433 mètres d'altitude.
Un escalier mène à la table d'orientation qui offre une vue imprenable notamment sur la ligne bleue des Vosges par temps clair, avec maintenant c'est vrai, les éoliennes qui ont été installées sur la commune d'Esley.
Une aire de stationnement permet de s'y arrêter et de profiter de la vue en se dégourdissant les jambes pour aller à la table d'orientation toute proche.
Les deux photos qui suivent sont prises de la table d'orientation en direction de l'Est. (Cliquer sur les images pour les agrandir)
L'émetteur du Haut de Dimont
Situé au Sud Sud-Ouest du col du Poirier à 2,9 km à vol d'oiseau, l'émetteur du Haut de Dimont ne passe pas inaperçu du fait de sa hauteur et de ses haubans. Il est également bien visible depuis le belvédère de la Croix de Virine.
Le Haut de Dimont se trouve sur le territoire de la commune de Thuillières.
En se rapprochant ainsi de la direction Ouest, le ciel commence à avoir de belles couleurs.
Le coucher de soleil
Direction plein Ouest, après quelques minutes de patience, le soleil finit par tangenter l'horizon, les couleurs du ciel sont intenses.
Le soleil continue sa descente sous l'horizon. Sur cette photo panoramique verticale, le haut du ciel est encore bleu.
Peu de temps après, le soleil est encore descendu. Cette photo cadrée en format portrait laisse apparaître que le bleu du ciel relativement proche de l'horizon a commencé à virer à des couleurs plus chaudes.
Le crépuscule
Le soleil finit par descendre intégralement sous l'horizon, c'est le crépuscule. (Photos prises à la focale de 185 mm, plus courte que celle de la photo précédente prise à 200 mm ce qui explique la différence de taille du soleil et du paysage)
Le crépuscule mais pas encore la nuit
Avec cette photo prise avec un objectif à courte focale (grand angle), vous pouvez constater que la partie supérieure du ciel qui n'apparait pas dans les photos précédentes, est encore bien bleue et lumineuse.
La silhouette de la table d'orientation
Je n'ai pas l'idée de rester jusqu'à la tombée de la nuit. Je retourne à mon véhicule en prenant le temps cependant de me retourner et de prendre ces photos de la table d'orientation dont la silhouette se détache sur le ciel orangé.
À voir ou revoir
Je vous invite à voir ou revoir l'article publié le 21 octobre 2020 dans lequel je présente des photographies prises au col du Poirier, avant et après l'installations des éoliennes d'Esley.
L'énergie éolienne fait partie des énergies renouvelables, lesquelles si je puis dire ont le vent en poupe. Ainsi voit-on "pousser" des éoliennes dans les paysages Vosgiens où les vents sont ...
Par temps clair, au lever du soleil ou au coucher du soleil, le col du Poirier mérite un arrêt pour profiter par exemple du spectacle d'un coucher de soleil comme celui que je vous présente dans cette publication.
Pour faciliter la prise de vue, il faut être sur place quand le soleil commence juste à se lever ou se coucher. Si le soleil est trop haut au-dessus de l'horizon, son intensité ne permet pas de prendre une belle photo car un capteur numérique ne peut pas enregistrer de tels écarts de luminosité entre le soleil et son environnement.
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Rares sont les personnes qui n'ont jamais entendu parler de la ville d'eau vosgienne de CONTREXÉVILLE. Moins rares probablement, sont les personnes qui ne s'y sont jamais allées. C'était mon cas, nous avons souvent fait des allers-retours Île de France -Vosges par le passé mais nous contournions systématiquement CONTREXÉVILLE. Pas le temps de nous y arrêter en ayant 470 km à parcourir dans chaque sens.
Ce samedi 11 février 2023 après-midi je décide d'aller faire une balade au parc Thermal et aux Lacs de la Folie de CONTREXÉVILLE.
Je me gare sur le parking qui fait face au casino, point de départ de cette balade.
Le Casino de Contrexéville
Le casino de Contrexéville propose la restauration, les machines à sous et les jeux tels que Blackjack et Poker.
Venu pour me balader dans le parc, je me suis contenté d'admirer la façade du casino ... sans y rentrer.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
Le Kiosque à musique
Balayant du regard le paysage en partant du Casino, je m'arrête sur le Kiosque à musique.
Le premier kiosque à musique a été construit en 1860 devant la galerie des thermes du parc à Contrexéville puis remplacé par l'actuel kiosque en 1900, année de la reconstruction du casino.
Enfin après le Kiosque à musique, c'est la majestueuse Coupole des Thermes de Contrexéville avec la galerie en arrière-plan qui s'offrent à mes yeux.
M'approchant de la coupole qui est fermée, j'arriverai tout de même à photographier à travers une vitre le dessus intérieur de la coupole.
La Coupole des Thermes vue du Parc Thermal
Le Lycée des Métiers Pierre MENDÈS FRANCE
Cet établissement photographié depuis le parc, prépare aux métiers hôteliers et de bien-être.
Au milieu de la nature dans le Parc Thermal
De nombreux panneaux informent le visiteur sur la richesse de la faune et de la flore de l'Ouest Vosgien.
Le Temple Protestant
Le Temple Protestant a été édifié en 1893 pour les curistes Anglais qui venaient à Contrexéville.
À gauche du Temple Protestant, une maison est décorée de céramiques en façade.
Vous ne voyez que partiellement cette maison sur la première photo qui suit.
La Chapelle Orthodoxe
La Chapelle Orthodoxe de Contrexéville a été construite en 1919.
La Grande Duchesse Wladimir décédée à Contrexéville en 1920 et son fils le Grand Duc Boris décédé à paris en 1943 y reposent.
La Cloche
La cloche de la Chapelle Orthodoxe est séparée de celle-ci. Elle est fixée sur un châssis en bois. Elle a été coulée en 1912 à la fonderie de cloches de Robécourt.
Les brides de suspension (tiges métalliques) solidarisent la cloche par les anses au mouton (pièce de bois également appelée joug).
Je ne m'en étais pas rendu compte sur place mais à bien regarder la photo j'en déduis que le mouton n'est pas comme généralement, oscillant. Cela signifie qu'il fallait faire taper manuellement le battant de la cloche contre la jupe de la cloche pour la faire sonner. Le battant de la cloche est immobilisé par un dispositif cadenassé.
D'avance je remercie le lecteur de cette publication qui pourra apporter des précisions sur ce point avant que j'y retourne.
La Croix Orthodoxe
La croix orthodoxe diffère de la croix chrétienne par une barre plus courte située au-dessus de la barre principale (comme la Croix de Lorraine) et par une petite barre oblique située à sa base.
Les Lacs de la Folie
Un grand parking situé juste à côté des Lacs permet aux visiteurs de venir facilement profiter de ce havre de paix.
Les deux lacs de La Folie sont traversés par le Ruisseau d'Arceau qui est un affluent du Vair.
Passé 17h00, le soleil commence à baisser sérieusement à cette date; c'est le moment de prendre des photos des roseaux en contrejour.
Conclusion
C'était une première visite de Contrexéville, j'y retournerai au printemps, et je prendrai le temps de parcourir l'ensemble du Parc Thermal dont je n'ai vu qu'une partie. Quant aux lacs de la Folie, je m'y rendrai pour randonner, équipé du matériel photo qui va bien pour photographier la faune et la flore afin de partager de nouvelles images.
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Lundi 06 février à 16H00, les élèves-gendarmes de la 517e promotion de l'École de Gendarmerie de CHAUMONT sont réunis au Monument Général Leclerc à MADONNE-ET-LAMEREY, pour la remise de képi après avoir fait une marche de 60 km sur deux jours.
Il y a au total 118 élèves-gendarmes, 35 femmes et 83 hommes ainsi que 10 cadres de l'École de Gendarmerie de CHAUMONT.
Toute promotion choisit un parrain qui est une personne morte pour la France, généralement un Résistant.
Le parrain de la 517e promotion est le gendarme Bertrand FOLIGUET. Bertrand FOLIGUET qui faisait partie du Maquis de MORILLON. Il a été fusillé en tenue de gendarme le 05 février 1944 à ÉPINAL, après avoir été dénoncé et torturé.
La marche de la 517e promotion passait notamment par le maquis de MORILLON.
Le Lever des Couleurs
La cérémonie commence par le Lever des Couleurs qui sera suivi par le dépôt d'une gerbe.
Le dépôt de gerbe suivi d'une minute de silence
Deux élèves-gendarmes accompagnés par la Présidente de la Communauté de Communes MIRECOURT DOMPAIRE et le Maire de MADONNE-ET-LAMEREY s'avancent pour aller déposer la gerbe au pied du monument.
Après dépôt de la gerbe, une minute de silence est observée.
La remise de képi
Après la minute de silence, le Capitaine MICHEL et le Général GERIN commandant de l'École de Gendarmerie de CHAUMONT, s'adressent à la 517e promotion pour les féliciter les élèves-gendarmes et leur dire qu'ils méritent le remplacement du calot par le képi après cette marche de 60 km.
Les cadres procèdent à la remise de képi.
L'élève gendarme qui filme la cérémonie se verra remettre le képi à la salle polyvalente de DOMPAIRE.
Les Élus présents à la cérémonie
De gauche à droite sur la photo ci-dessous :
Les Maires de BOUZEMONT et MADONNE ET LAMEREY, la Présidente de la Communauté de Communes MIRECOURT-DOMPAIRE, les Maires de DOMPAIRE et VILLE-SUR-ILLON
Une présence remarquée à la cérémonie
Une présence remarquée à la cérémonie est celle de Monsieur Roger LE NEURES, dernier Vétéran des Vosges de la 2e DB qui aura 100 ans cette année. (À droite sur la photo ci-dessous)
Monsieur LE NEURES s'adressera aux élèves-gendarmes à la salle polyvalente.
Le chant du serment de Koufra
Après la remise de képi, les 118 élèves-gendarmes entonnent le chant du serment de Koufra.
Fin de la cérémonie au Monument Général Leclerc
Les Autorités et Élus viennent saluer et remercier les Porte-drapeaux puis s'entretiennent longuement avec Monsieur LE NEURES.
(6 photos en diaporama ou faire défiler manuellement les photos)
Les élèves-gendarmes et les cadres de l'École de Gendarmerie se rendent ensuite à la salle polyvalente de DOMPAIRE.
La remise de képi à l'élève-gendarme qui filmait la cérémonie
Le képi lui est remis par le Général GÉRIN qui lui adresse ses félicitations.
L'allocution de Monsieur Roger LE NEURES, Vétéran de la 2e DB
Après la remise de képi, le capitaine MULLER invite Roger LE NEURES à s'adresser aux 118 élèves-gendarmes.
En faisant référence à ce qu'il a vécu au sein de la 2e DB et au serment de Koufra, Roger LE NEURES explique aux élèves gendarmes qu'ils pourront se trouver dans des situations difficiles dans leur carrière mais qu'ils n'auront que deux chemins possibles : vaincre ou baisser les bras. Baisser les bras c'est l'anéantissement, vaincre c'est ne pas lâcher prise pour honorer les valeurs de leur métier, de la République par amour de la Patrie.
C'est là un bref résumé de cette allocution qui aura marqué les élèves gendarmes qui s'en souviendront très probablement au cours de leur carrière.
(3 photos en diaporama ou faire défiler manuellement les photos)
Le chant du Serment de Koufra
Après l'allocution de Roger LE NEURÈS, les élèves-gendarmes entonnent le chant du Serment de Koufra dont voici les paroles (Transmises par le Capitaine MULLER que je remercie, lors d'un échange de mails) :
Un matin de mars quarante et un
Loin sous le soleil libyen
Sou « ou » dain s’élève dans le désert « re »
La voix du colonel LECLERC
« Jurons de ne déposer les armes
seulement quand nos couleurs flotteront là-haut sur la cathédrale
Tout en haut à STRASBOURG,
Tout en haut à STRASBOURG » Bis
Un seul canon et quatre cents hommes
Refusant la soumission
Un « un » homme plein d’audace entame « me »
La marche de la libération
Militaires servant dans les armées
Fi « i »dèles à ce serment relevons la tête dans l’obscurité
En tous lieux, en tous temps
En tous lieux, en tous temps Bis
Tirailleurs de divers horizons
Dans une folle traversée,
Fo « o » rmant une glorieuse division « on »
Gardienne de notre liberté
Veillons dans la nuit fusil en main
Restons forts sans chercher l’exploit emportons la France comme unique butin
Comme seule loi, comme seule foi !
Comme seule loi, comme seule foi ! Bis
Pendant toute la durée du chant, Roger LE NEURÈS garde la main droite posée sur le cœur. Il applaudira à la fin du chant les élèves-gendarmes en signe de remerciements.
(4 photos en diaporama ou faire défiler manuellement les photos)
Le pot de l'Amitié
La fin de la cérémonie à la salle polyvalente est suivie par un pot de l'Amitié servi par les élèves gendarmes.
C'est l'occasion de photographier deux groupes d'élèves-gendarmes.
Plusieurs élèves-gendarmes écoutent attentivement les propos tenus par Roger LE NEURES .
(3 photos en diaporama ou faire défiler manuellement les photos)
Lien vers le site de l'École de Gendarmerie de CHAUMONT
Créée en 1945, l’école de gendarmerie de Chaumont (Haute-Marne) est la plus ancienne des écoles de formation initiale de sous-officiers de gendarmerie et la seule ...
Mon grand-père maternel a fait carrière dans la Gendarmerie. Tout en dirigeant la brigade de Neufchâteau, il avait fondé un réseau d'évasion de prisonniers au début de la deuxième guerre mondiale. Il a été déporté pendant trois ans après avoir été dénoncé et arrêté par la Gestapo. Il est cependant rentré de déportation très affaibli après la libération du camp de Dachau. Il a ensuite repris son service. Un de mes neveux a fait l'École de Gendarmerie de CHAUMONT. Ce sont des raisons qui font que j'étais intéressé d'assister à la cérémonie de remise de képi aux élèves-gendarmes de la 517e promotion auxquels je souhaite une bonne carrière.
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Mercredi 8 février, c'est une belle journée froide mais ensoleillée, je décide de me rendre en fin d'après-midi au belvédère de la Croix de Virine sur la commune de CIRCOURT, pour photographier le coucher de soleil.
La situation de la Croix de Virine
Il fait seulement 1°C et si faible le vent soit-il, il n'y a pas d'endroit plus exposé pour bien ressentir le froid. Peu importe, le désir d'immortaliser le spectacle qui s'offre à mes yeux me fait oublier le froid glacial
J'utilise un boitier plein format équipé d'un zoom 70/200 mm.
Je suis sur place depuis 17H20, le soleil est encore trop lumineux il me faut attendre 17H34 pour prendre ma première photo.
Certains sont pour, d'autres sont contre mais force est d'admettre que 13 des éoliennes du "Parc éolien du Pays entre Madon et Moselle" en premier plan et les 4 éoliennes de Jésonville en arrière plan, font maintenant partie du paysage.
Je vous invite à vivre maintenant le déroulé de ce coucher de soleil.
17H 34mn 17s
Première photo suivie d'une deuxième prise 2 s plus tard, assemblée par logiciel panoramique.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
17H 34mn 44s
Je me limite à prendre le soleil sur le côté droit de la photo pour ne pas l'avoir directement de face.
17H 36mn 12s
Le soleil commence à perdre de l'intensité lumineuse, je peux commencer à le rapprocher du centre de la photo.
Photo prise à la focale de 78 mm
17H 39 mn 34s
Photo prise à la focale la plus longue, 200 mm.
Vous pouvez deviner DOMPAIRE et à droite de la photo, la route de VITTEL.
Le clocher de l'église Saint-Nicolas de DOMPAIRE est à peu près à l'aplomb de l'éolienne la plus à droite.
17H 41mn 25s
Le soleil tangente l'horizon.
Photo prise à la focale de 78 mm
17H 42mn 50s
Le soleil a commencé à passer sous l'horizon.
Photo prise à la focale de 200 mm.
De 17H 43mn 50s à 17H 45mn 56s
Le soleil continue sa descente derrière l'horizon, il ne reste qu'une toute petite partie qui est encore visible.
Photos prises à la focale de 200 mm.
17H 46mn 13s le soleil disparait derrière l'horizon
C'est maintenant le crépuscule.
Photo prise à la focale de 200 mm.
Photo panoramique du paysage au crépuscule
La silhouette de deux arbres sur fond de soleil couché
Conclusion
Je ne regrette pas d'avoir affronté le froid car j'ai assisté à un beau spectacle offert par Dame Nature. Je ne manquerai pas d'y retourner à l'occasion quand il y aura de beaux nuages dans le ciel.
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Dimanche 29 janvier 2023, je me lève plus tôt qu'à mon habitude car je reçois des invités. Ouvrant mes volets, je vois que c'est le lever du jour avec de belles couleurs du ciel. Avant de faire toute autre chose, je sors l'appareil photo pour immortaliser ce moment. Je mettrai les photos sur ordinateur plus tard, ce que je fais ce jour de publication.
Le vieux "cerisier solitaire" ressort sur ce fond de nuage sombre. Sur ce nuage, la ligne électrique se fait plus discrète.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
Deux photos pour une seule image
Les deux photos élémentaires prises en prenant soin de superposer le cadrage pour réaliser ensuite une image panoramique.
+
=
La photo panoramique verticale obtenue par assemblage logiciel.
Conclusion
Voici donc un article bref pour un lever de soleil de courte durée. J'écris de courte durée car après 08H00, l'intensité lumineuse du soleil allant croissant, les couleurs nuancées du ciel et des nuages s'estompaient rapidement. Ce lever de soleil méritait de sortir l'appareil pour prendre quelques photos.
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J'ai récemment publier un article traitant du Pont Tatal ou Viaduc de CLAUDON qui permettait le franchissement de la vallée de l'Ourche par la ligne ferroviaire d'ÉPINAL à JUSSEY.
Je vous invite à voir ou revoir cet article en suivant le lien ci-dessous.
Préambule Dans l'article "Coucher de soleil du 1er janvier 2023 sur DOMPAIRE" publié le 05 janvier 2023, j'évoque le passage avec mon beau-frère par le Pont Tatal sur lequel je prépare un arti...
En complément aux photographies, j'ai recherché sur internet s'il existait des cartes postales anciennes du Pont Tatal. J'ai pu en acquérir deux que je vous présente.
La première avec une voiture qui vient de passer sous le pont porte la date d'envoi du 05 juin 1936.
(Cliquer sur les images pour les agrandir)
Le timbre à date qui figure au recto de la deuxième CPA n'est pas lisible.
Nous pouvons voir le passage d'un train sur le viaduc dont c'était la vocation première. Il y a peu de détail sur ce train du fait de la qualité médiocre de la CPA et de l'angle de prise de vue lié à la hauteur du viaduc.
Le Pont Tatal Hier / Aujourd'hui en montage CPA / Photo
Conclusion
La comparaison carte postale ancienne et photo récente permet de voir la ressemblance ou l'évolution des paysages. Dans le cas présent il n'y a pas beaucoup de différence d'aspect, seule la fonction a changé depuis que la ligne a été fermée au trafic puis déferrée. C'est maintenant un lieu de passage d'itinéraires de randonnée à pied ou à vélo et un site privilégié pour les sports d'escalade et de saut à l'élastique.
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J'aime les Vosges : les montagnes, les lacs et cascades, les Hautes-Vosges, mais les Vosges, c'est aussi la Plaine. Sur ce blog, je veux mettre en valeur la Plaine des Vosges en y publiant des photographies de paysages, du patrimoine architectural et naturel, des villes et villages dans leur environnement et des sites historiques caractéristiques.
Mes publications peuvent être partagées (liens) sur les réseaux sociaux, autres blogs et sites internet.
MES PHOTOGRAPHIES NE SONT PAS LIBRES DE DROIT, voir le module "Droit d'utilisation des photographie"
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